Remarque 9
C'est le second algorithme (
I.2.31) que nous avons le plus utilisé. Nous avons pris les coefficients
répartis selon une
loi aléatoire uniforme entre 0,5 et 0,99.
On constate en effet qu'avec environ 10 ou
d'itérations en moins,
on obtient une précision égale à celle obtenue par le premier algorithme (
I.2.38).
Remarque 10
Le lecteur notera que l'algorithme (
I.2.39) utilise des coefficients de relaxation non cycliques. Il serait intéressant d'étudier
d'autres choix des termes de relaxation
de façon à diminuer encore le nombre d'itérations [
51]. Nous n'avons pas mené cette étude
qui serait à faire pour optimiser le coût calcul de la méthode.
Remarque 11
La génération de nombres aléatoires
est faite d'après une méthode proposée par Knuth dont l'avantage est d'être de période quasi
infinie, et d'avoir une faible corrélation séquentielle (cf [
53], Ch 7, p.196 fonction
RAN1). L'avantage de la programmation de cette fonction est sa portabilité
d'un système informatique à un autre.